Profitant de quelques heures de répit, le commissaire Moulin et sa fille, Marie, s'octroient une petite promenade au Jardin des plantes. Soudain, c'est l'affolement : une mère de famille, paniquée, est à la recherche de son fils de 4 ans. Le garçonnet aurait, dit-elle, échappé à sa vigilance. Moulin tente de calmer la jeune femme, puis, n'écoutant que son coeur, part à la recherche de l'enfant. Il lance des appels, questionne les passants, mais rien n'y fait : le garçon a bel et bien disparu. Moulin charge alors le responsable de la sécurité du Jardin des plantes de boucler toutes les issues et de filtrer la sortie des visiteurs...
Le commissaire Moulin parvient à arrêter Bronivsky, un tueur en série. Lors du procès, l'accusé finit par avouer ses meurtres, à l'exception de celui d'une jeune femme prénommée Béatrice. Moulin ne croit rien de ces déclarations, mais l'avocate du tueur dispose d'un argument imparable : Brovnisky était hospitalisé à l'autre bout de la France lorsque Béatrice a été tuée. Le commissaire est forcé de s'incliner devant cet alibi incontestable. Il reçoit alors la visite de madame Lenormand, la mère de la jeune défunte, qui veut à tout prix connaître la vérité. Touché par sa détresse, Moulin accepte de reprendre l'enquête. Mais le meurtre a été commis deux ans plus tôt, ce qui complique ses recherches...
Hiver 2004. Dans le froid qui envahit la France, le nouvel ennemi public n°1 est Patrick Klotz. Condamné à vingt ans de réclusion criminelle pour une série de braquages sanglants, l'homme écoule sa peine à la Prison de la santé. Suite à un malaise augurant de problèmes cardiaques graves, Klotz est conduit d'urgence à l'hôpital pour des examens approfondis. Mais, sur le chemin, l'ambulance est attaquée par les complices du braqueur...
William Terrano, dangereux braqueur multirécidiviste, sort de prison après dix ans d'enfermement, accueilli par son fils Thierry et deux membres de sa bande, Jacques Mirvin et Fred Angeli. Parallèlement, le commissaire Moulin découvre une impressionnante planque d'armes dans un parking des beaux quartiers. Fort de sa découverte, il laisse sur place un discret dispositif de surveillance... Le lendemain, un braquage est commis dans une banque. Les malfrats sont tous encagoulés, à l'exception d'une jeune femme qui opère à visage découvert... et qui s'avère être Marie, la propre fille du commissaire Moulin. Consternation et abattement précèdent de douloureuses interrogations : Marie s'est-elle liée avec une bande de voyous ou opère-t-elle contrainte et forcée ?
Le commissaire Moulin et son collègue de la BRI, le commandant Carella, arrêtent, sur le parking d'un supermarché, un dangereux gang de braqueurs qui s'apprêtait à attaquer un fourgon de convoyage de fonds. Le chef de la bande, Jo Roussel, est lourdement condamné. Cette arrestation se fête en famille car Carella est, en effet, le frère de Sophie, la compagne du commissaire Moulin. Durant cette soirée, Carella est victime d'un malaise...
Alors qu'il tente de découvrir qui a tué une adolescente dont le corps a été retrouvé à moitié immergé dans un étang du bois de Vincennes, le commissaire Moulin est appelé d'urgence pour un enlèvement. Déborah Guersant, 17 ans, a été kidnappée sur le chemin de son lycée. Dans son sac, un téléphone portable émet en direct les premiers instants de son enlèvement. Réussissant à localiser l'appareil, Moulin se rend aussitôt sur les lieux. Mais il arrive trop tard et découvre le corps sans vie de Déborah. Le tueur a employé le même mode opératoire que pour le meurtre du bois de Vincennes. Il semble se jouer de la police, qui parvient cependant à établir un portrait-robot...